Au sein de la Teamaventuriers, nous courrons tous un peu, même si pour certains c’est un peu plus que d’autres.
C’est mon cas, et si en terme de compétition je n’ai participé qu’à quelques courses (dont le Trail de Cortina et ses 47km pour 2650m de dénivelés), je cours de manière bien régulière, et j’ai ainsi le besoin d’être bien équipé en terme de chaussures de trail.
Des chaussures de trail pour chaque type de sortie
Voici donc une review de mes modèles favoris que j’ai pu tester ces derniers mois :
La plus imperméable
Les Asics Fujiattack 5
Gore-tex, mais assez légères (309g), c’est l’une de mes préférées, et plutôt polyvalente, je l’utilise cependant lorsque le temps est humide, afin de garder les pieds au sec. Cependant attention car en cas de grosses flaques, l’eau n’en ressortira pas, dans ces cas je préfère privilégier des chaussures non imperméables mais qui sèchent rapidement.
Cette paire comme je le disais est polyvalente : elle possède un bon dynamisme, et reste confortable à la fois sur des terrains caillouteux et durs que sur des sols plus souples. Le Gel Cushioning System d’Asics apporte un bon amorti, et elle possède un drop assez important de 10mm que en fait une bonne chaussure pour les terrains escarpés. Son accroche sur terrain humide n’est pas la meilleure, mais reste correcte. Elle est très solide, car après plusieurs mois d’utilisation elles n’ont pas bougé.
Le petit plus, c’est le « lace pocket », système de rangement du nœud des lacets, hyper pratique pour éviter qu’ils ne se défassent.
C’est la paire de chaussure qui m’a accompagné sur le Lavaredo en Italie. Développée en collaboration avec Sébastien Chaigneau, ce qui frappe au départ c’est leur confort : on est dans des chaussons ! Ce qui vient ensuite, c’est leur accroche. Elles sont en effet équipées de la semelle Megagrip développée par Vibram, et c’est un vrai plus. Elles sont très résistantes (normal, elles sont faites pour les trails longs) et protègent très bien grâce à leur protection Snake Plate sur l’avant du pied.
Bien aérées, avec un mesh résistant, elles sèchent vite, vous pouvez traverser une rivière et ne pas craindre les ampoules ensuite ! Le drop est de 8mm, l’amorti est assez important et efficace, et elles restent bien stables sur les parties techniques. Une très bonne paire de chaussure, un peu plus imposante que d’autres modèles, mais restant assez légère, et je l’utilise même sur des sorties de 2/3 heures.
Elles existent également en version Gore-Tex.
C’est l’une de mes préférées pour les sorties dynamiques, sur les chemins techniques. Très réactives, elles accrochent très bien (on est sur une très bonne semelle Vibram avec des crampons efficaces), et permettent de vraiment s’amuser sur les descentes bien difficiles, entre cailloux et racines !
C’est une paire que j’apprécie beaucoup, mais qui est très rigide (et peut donc ne pas plaire à tout le monde), et elle n’est pas du tout agréable lorsque vous devez avoir des parties route. Je sais aussi que certaines personnes ne les apprécient pas à cause de ça, mais personnellement elles me plaisent. Je vous conseille cependant de les essayer dans la mesure du possible pour vous faire une idée.
Si vous voulez aller plus loin, retrouvez mon test plus précis des Ultra MT.
Hoka est connu pour leurs chaussures surcompensées. Les speed Instinct vont dans une toute nouvelle direction : un drop assez faible (3mm), et surtout une semelle bien plus fine. Tout en restant confortable, c’est une paire de chaussures de trail qui est très dynamique, et vraiment agréable sur les sorties techniques. L’accroche est bonne, mais je n’ai pas eu l’occasion de la tester sur des terrains trop boueux pour l’instant.
Cependant, sur des sorties techniques, en forêt avec des racines et pierres humides, elles tiennent bien la route, et autant j’avais du mal sur ce type de terrains techniques avec les Hoka Speed Goat, autant là j’apprécie ces Speed Instinct.
Retrouvez mon test plus précis des Hoka Speed Instinct.
Si vous ne savez pas quelle paire de chaussure de trail acheter, que vous courrez sur des terrains variés, et aimez le confort, vous pouvez vous jeter sur les Peregrine 5 de Saucony. Un drop de 4mm seulement et une semelle légère, en font une chaussure près du sol et dynamique, tout en restant confortable. Les crampons multidirectionnels permettent une bonne accroche, sans pour autant être trop imposants. Légères et bien respirantes, elles sèchent rapidement, restant confortables.
C’est la paire que j’utilise quand je n’ai pas envie de me prendre la tête, que je vais varier les terrains, car elle sera autant à l’aise sur des zones techniques que d’autres plus roulantes, voir même sur route.
Si vous voulez aller plus loin, retrouvez mon test des Saucony Peregrine 5.
Bien sûr il y a d’autres modèles, notamment chez Salomon qui est le leader sur le monde du trail, Altra pour les paires à 0 mm de drop, et les Fivefingers pour les minimalistes, et nous aurons sûrement l’occasion de traiter ces modèles d’ici quelques mois.
Passionné des régions nordiques, mais aussi d'activités outdoors et d'aventures, sportif (running, trail dans ma forêt), j'adore avant tout la nature et les grands espaces. Un peu geek, J'écris aussi sur Carnets Nordiqueset Escales Nordiques, où j'y partage mes photos, mes récits de voyages et ce qui me touche.
Les pays situés autour et au nord du cercle polaire arctique et les régions glacées vous fascinent ? Nous également ! Nous préférons l’appel glacé du nord à celuide la plage.
66° nord, une latitude mythique, de l’Alaska à la Laponie, en passant par la Sibérie… mais pas que ! Dans ces contrées recluses, certains s’y sont à jamais perdus. Quelques y sont restés. D’autres ont accompli des exploits durant de difficiles expéditions, réécrivant les limites du mot impossible. Le cercle polaire, c’est des paysages sublimes et des lumières particulières : aurores boréales qui illuminent le ciel durant la nuit polaire, soleil de minuit qui refuse de vous laisser dormir durant de longues semaines. C’est le tableau vivant des contrastes en noir et blanc. Terres de conditions extrêmes. Pays des rêves de tout aventurier.« Tant de choses à voir, à voir et à z-entendre », comme l’écrivait Boris Vian.
Amoureux du froid, découvrez notresélection de 15 régions glacées pour les aventuriers et vous aussi, vous murmurerez peut-être je voudrais pas crever, avant de…
1 … Passer du temps dans une cabane en Laponie suédoise
Un retour aux sources, où vos activités principales seront de prendre le temps de vivre, en retrouvant des gestes simples comme d’aller recueillir son eau dans une rivière, grâce à un trou percé dans la glace qu’il vous faudra entretenir ; de préparer et faire vivre le feu, qui servira à vous réchauffer ; de vous préparer à des ballets d’aurores boréales, spectacle nocturne unique. Nicolas pourra vous raconter son expérience dans le Camp Parakka, dans la taïga de La Laponie suédoise, où vous pourrez lire « Dans les forêts de Sibérie » de Sylvain Tesson, qui a vécu seul dans une cabane le long du lac Baïkal pendant 6 mois.
2 … Rendre visite au Père-Noël en laponie finlandaise
Sur le cercle polaire, à Rovaniemi en Laponie Finlandaise, vous aurez l’occasion d’aller rencontrer le père Noël. Si cette activité n’est pas très outdoor, pourquoi ne pas vous y rendre, tiré par un attelage de chiens de traîneaux ? Expérience qui vous placera au plus près de la nature, au son des halètements et des aboiements des chiens qui vous aideront à glisser sur les lacs enneigés des forêts de Laponie. Vous pourrez également découvrir le pays des Sames à la journée, comme Piotr a pu le faire, ou partir en raid plusieurs jours et dormir à la belle aurore (c’est comme à la belle étoile, mais sous les aurores boréales).
Si l’idée d’associer pays nordiques et activités nautiques vous paraît incongrue, vous faites une grave erreur ! En effet, le kayak est une embarcation et un moyen de transport utilisé depuis des siècles par les Inuits. C’est aussi la meilleure manière d’aller observer au plus près les magnifiques icebergs bleutés en baie de Disko. Y découvrir la culture inuite et les villages de pêcheur, le long du fjord du Torssukatak. Ou, pourquoi pas, vous rendre sur la côte Est du Groenland, encore plus sauvage ?… Vous y rencontrerez peut-être l’ours polaire en écoutant le chant des baleines.
4… Effectuer un raid hivernal dans le Sarek, en Suède
Comme François l’a fait : en traversant ce qui est ni plus ni moins que le plus grand désert blanc d’Europe, en Laponie suédoise, à ski et en tirant une pulka. Objectif : y effectuer un raid en totale autonomie et y découvrir des paysages montagneux, infiniment blancs et fouettés par le blizzard, où vos seuls compagnons seront les lagopèdes et quelques renards à la recherche d’un peu de vos restes. Et pouvoir dire que vous avez gravi le Kebnekaise, plus haut sommet de Scandinavie et passage obligé pour qui veut parcourir la célèbre Kungsleden (voie royale suédoise).
De Kapisillit à Nuuk, c’est l’une des plus belles itinérances du Groenland. Des paysages arides tout du long et une arrivée marquante en bateau, au milieu des icebergs. C’est cependant un trek relativement difficile pour des non-initiés. Le couple chaleureux de Cloe et Clem ont ramené de superbes images de cette expérience, mais qui ont aussi rencontré de sérieuses difficultés. Leurs souvenirs demeurent néanmoins superbes et intacts car les paysages sont définitivement fascinants.
Oui, le Groenland fait partie intégrante de ces mythiques régions nordiques dont nous parlons. Une terre mystérieuse et rude, où se déroule tous les ans à Kangerlussuaq, fin octobre, par des températures encore clémentes qui avoisinent les -10°, le Marathon du cercle polaire. 42 kilomètres sur les chemins et la glace, dans des conditions pouvant être difficiles, au coeur de paysages magnifiques d’habitude plus fréquentés par des gens en raquettes qu’en chaussures de trail ! Nicolas fait partie de ces « amoureux du nord », préférant ce type de course à des épreuves plus classiques, et qui rêverait de se retrouver sur la ligne de départ.
Situé au nord de la Norvège (oui, l’archipel du Svalbard – le Spitzberg en est juste l’une des îles et un territoire norvégien), le Spitzberg est l’un des endroits les plus proches du pôle Nord. Accessible depuis la Norvège, c’est le pays des ours polaires. Impossible de sortir de Longyearbyen sans être armé : une condition obligatoire si vous avez l’idée de partir en autonomie à ski et à pulka vers le magnifique Isfjord et les glaciers qui l’entourent. Et davantage encore pour bivouaquer sous les aurores boréales, en plein désert blanc. Une exploration possible aussi en kayak, le long des fjords. Quel que soit votre choix, vous devriez en prendre plein les yeux et vivre l’aventure intensément.
Située dans le centre est du Québec, c’est une terre pittoresque entourée du fleuve Saint-Laurent. Ses paysages sont constitués de falaises accrochées au bout des montagnes Appalaches, de rivières et de vallées. Le territoire nord-américain tel qu’on l’imagine, entre images hivernales glacées et couleurs d’automnes, paradis du trek et des traversées en ski. Et pourquoi pas une traversée sur les 4 saisons ?
9 … Marcher sur les traces des chercheurs d’or en Alaska
Ils ont traversé le Yukon, franchi des montagnes et navigué sur des rapides, tout en faisant attention aux Grizzlys. Jack London l’a si bien conté. Si cependant vous trouvez cela trop facile à notre époque, le mont Mc Kinley, dans le parc Denali, vous ouvrira ses portes et, peut-être, serez-vous l’un de ces rares aventuriers qui réussira à gravir son sommet, le plus haut d’Amérique du Nord, à 6 194 mètres. C’est d’ailleurs le projet de Piotr dans le cadre de son défi des 7 sommets.
10 … Traverser l’Islande au-dessus de ses cratères et glaciers
En parcourant le trek du Laugavegur, certainement le plus connu sur cette île, et l’un des plus beaux du monde. Une aventure au pays qui fume, avec le géotherme à quelques centaines de mètres sous vos pied, le tout au coeur d’un paysage de volcans et de chaînes montagneuses rhyolitiques. Une autre planète qui ravira les aventuriers géologues ! Peut-être aurez-vous la chance, par une nuit à la belle étoile, d’observer des aurores boréales ? Ne ratez pas pour votre retour à la civilisation la baignade dans le Blue Lagoon, hammam de rêve à ciel ouvert, car même les aventuriers ont le droit de se reposer !
Situées quelque part en Atlantique nord, ce n’est pas la destination nordique à laquelle on pense forcément en premier. Et pourtant, les Îles Féroés regorgent de paysages tragiques, entre Islande et Lofoten. Rendez-vous à Tórshavn pour parcourir les 21 kilomètres du trek allant jusqu’à Kirkjuboeur, réputé difficile, mais avec de nombreux passages sublimes. Cet archipel regorge d’itinéraires, avec des conditions climatiques difficiles : du pain béni pour les amoureux de l’outdoor et les aventuriers que vous êtes, mais moins touristique que l’Islande ou encore les Lofoten. Melissa en a ramené de superbes récits et photos !
Par l’Argentine ou le Chili, peu importe, mais Ushuaïa et le parc naturel de Karukinka me font rêver. Les routes souvent interminables aux paysages arides, pendant lesquels votre esprit aura tout le temps de divaguer… Pourquoi pas alors le trek de Torres del Paine et la boucle O ? Ou encore ces sommets trop souvent méconnus que sont l’Ojos del Salado, au nord du Chili, qui a fait tourner la tête de Piotr, avant d’aller voir les icebergs et de rejoindre l’Antarctique pour le traverser, comme l’ont fait Stéphanie et Jérémy à skis et à pulka, en passant par le Pôle Sud.
Situées au nord-ouest de la Norvège, cet archipel de rêve au nord du cercle polaire, vous offrira la possibilité de faire du surf (oui oui), mais aussi des treks et des randonnées, le long de fjords vertigineux avec toujours la mer et les montagnes en toile de fond. Pêcher le crabe si vous êtes plutôt mer, dormir dans des cabanes de pêcheurs et vous enfoncer dans les vallées profondes, que ce soit en été ou en hiver…
Qui est le plus grand réservoir d’eau douce du monde, et parfois surnommé « La perle de Sibérie ». Là où des routes sont tracées en hiver sur la glace, là où des hommes passent en chien de traîneau ou en camion l’hiver, et où la nature montre toute sa puissance. Comme Sylvain Tesson, passez-y quelques mois auprès des attachants Russes. Vous pourrez aussi y effectuer un trek sur l’île d’Olkkon.
À l’extrême nord de l’Inde, à la frontière du Tibet, l’ancien royaume du Zanskar est l’une des plus vieilles vallées peuplées de l’Himalaya, isolée du reste du monde près de six mois par an par la neige. La région devient alors inaccessible… à moins de suivre à pied le cours de la rivière gelée, appelée Chadar. Au cœur de l’hiver, vous pouvez vous aventurer sur cet itinéraire d’envergure, mais accessible plus facilement qu’on ne le pense, comme en témoigne Anne qui y a passé un hiver au complet. C’est une marche absolument unique, au cours de laquelle on suit, plusieurs jours durant, un « sentier » de glace, se créant et se dérobant au gré des humeurs de la météo.
Passionné des régions nordiques, mais aussi d'activités outdoors et d'aventures, sportif (running, trail dans ma forêt), j'adore avant tout la nature et les grands espaces. Un peu geek, J'écris aussi sur Carnets Nordiqueset Escales Nordiques, où j'y partage mes photos, mes récits de voyages et ce qui me touche.
Ça y est, c’était l’heure. L’heure du dernier repas comme pouvait le chanter Brel ?
Je ne sais pas, en tout cas, nous avions bien mangé, bu un peu des bières Finlandaises(pour oublier, ou plutôt ne pas penser à ce qui nous attendait ?) et étions allés nous changerpour cette grande aventure. Pour ma part c’est vêtu de vêtements Gore-tex pour éviter d’être trempé (dans le meilleur des cas, c’est-à-dire en imaginant rester à bord des embarcations), que je suis parti à l’aventure.
Nous allions descendre une rivière finlandaise, la terrible Tainionvirta qui comportait quelques séquences dangereuses de rapides. Nous étions débutants.
Quelle idée nous avait-il pris d’accepter de monter à bord de ces canoës, pour naviguer à la manière des indiens ?
Dit comme ça, ça faisait rêver, mais dans la réalité…
Pour lire la suite de cette terrible aventure, c’est sur Carnets Nordiques qu’il vous faudra poursuivre.
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Il y a deux ans de ça, je ne sais pas quelle idée saugrenue m’a pris de demander un stage de survie grand froid.
Ok j’aime la Laponie et le Grand Nord.
Ok je ne suis pas frileux.
Ok j’ai toujours eu envie de dormir dans un igloo ! Pourquoi pas…
Après avoir reçu avec étonnement et ricanement les remarques familiales et moqueries les collègues doutant me revoir le lundi matin, je partis dans le grand nord seul avec mon duvet grand froid, mon couteau et ma ****, et quand même quelques affaires (vêtements techniques, gourde, mais pas de nourriture ni de briquet ou allumettes).
De longues heures de voitures plus tard, arrivant dans la neige, sous une presque tempête, la Laponie est à moi, prêt à m’offrir ce qu’elle a de plus dure, les températures et l’isolement les plus extrêmes, m’aider à me forger une expérience et un moral d’acier.
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Stéphanie et Jeremy Gicquel avaient fait le pari fou de traverser sans assistance l’antarctique, à ski et en tirant une pulka (dans laquelle se trouvait leur nourriture, abri… ), en passant par le Pôle Sud. Un peu plus de 2000 kilomètres (2 043 kilomètres exactement), sous les bourrasques de vent, les sastrugis, les crevasses, les conditions les plus difficiles possibles avec des températures plusieurs fois descendues jusqu’à -50° l et des vents à plus de 70km/h en pleine face, en 73 jours exactement, ppur 70 jours prévus au départ. Ce projet Across Antarctica, c’est une première, un exploit, et nous leur disons bravo !
(c) Accross Antarctica
Partis le 9 novembre 2014, ce jeune couple n’en est pas à sa première aventure folle. Ils avaient en effet participé (et terminé) le Marathon du Pôle Nord il y a deux ans déjà, par des températures avoisinant les -40°. Nicolas les avait d’ailleurs interviewés à l’époque.
Amoureux des régions polaires (ils ont déjà visité le Spitzberg, le Groenland, et donc le Pôle Nord et maintenant l’Antarctique), se sont aussi des sportifs de l’extrême, du trail à l’ultra-trail (des courses de 180km par exemple ne leur font pas peur…).
(c) Accross Antarctica
(c) Accross Antarctica
(c) Accross Antarctica
Chacune de leurs aventures est aussi un moyen de récolter des dons pour l’association Petits Princes, qui aide des enfants gravement malades à réaliser leurs rêves (vous pouvez d’ailleurs faire un don depuis cette page) , et sur cette traversé de l’Antarctique, des internautes pouvaient faire des dons par kilomoètre d’aventure, et voir ainsi leurs noms gravés sur la glace du continent le plus froid du monde.
C’est aussi pour eux un moyen de partager leur amour des régions polaires, avec les élèves des écoles qui vont les suivre et les soutenir, une manière d’expliquer aux générations futures la fragilité de la terre et l’importance d’y faire attention.
Jeremy Gicquel (c) Accross Antarctica
Stéphanie Gicquel (c) Accross Antarctica
En tout cas cette aventure est terminée, nous avons eu la chance de les suivre sur les réseaux sociaux et voir en temps réel leurs photos du grand continent blanc, leurs impressions, leurs doutes mais aussi leurs joies, et nous attendons avec impatience leur prochaine grande aventure : après avoir tourné autour du Pôle Nord, puis traversé le Pôle Sud, où nous emmèneront-ils ?
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L’année dernière, je cherchais une paire de chaussures de randonnées ou de bottes pour mon séjour en Laponie. J’avais une paire de Salomon (chaussures de randonnées hivernales) pouvant résister à du -20 degrés, cependant rester toute une journée dedans n’était pas des plus agréable, les pieds devenaient humides, et elles devenaient rapidement humides à l’intérieur, la neige rentrant facilement dedans. De plus, les garder longtemps faisait mal, et comme en Laponie je risquais de devoir les garder quasi toute la journée pendant une semaine, j’ai rapidement cherché une alternative.
Vous pouvez retrouver l’intégralité du test des Caribou de chez Sorel sur Carnets-nordiques.
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Cela fait un moment que je voulais en parler, et je l’ai évoqué plusieurs fois dans différents articles concernant les vêtements adaptés pour l’outdoor et les excursions nordiques : maveste polaire Talloires de chez Eider.
Veste polaire au look très urbain, je l’utilise quotidiennement dès lors qu’il ne pleut pas, et qu’il n’y a pas de vent.
Pour lire l’intégralité du test de la veste polaire Talloires de chez Eider, c’est chez Carnets-nordiques.
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Vestes Softshell : effet de mode ou réelle utilité ?
Voici un article pour vous parler des vestes softshell. Suite à mes articles sur les doudounes et sur les gilets et polaires, qui connaissent un bon succès (à mon niveau je m’entends), j’ai eu des questions concernant le choix de vêtements techniques : quelle veste pour faire du VTT, qu’emmener comme vêtements et comme manteau en Laponie, que me conseillerais-tu comme veste 3 en un, ou comme softshell, qu’est-ce qu’une veste softshell ?
Ayant certaines connaissances dans le domaine de l’outdoor, et m’intéressant à ce type de produits, j’ai approfondi un petit peu et espère que cet article pourra répondre à vos interrogations concernant le softshell.
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Nicolas était parti passer une semaine seul en Laponie suédoise. Au départ randonnée en ski et pulka, il s’est finalement retrouvé dans un parc naturel, situé non loin de Kiruna, sur le bord de la rivière Kalix, loin de tout, mais dans une cabane en bois.
Il passe ses journées ensoleillées à se promener, découvrir son territoire, admirer les paysages enneigés.
Un matin, il décide de partir sur une randonnée à la journée, longer la rivière, puis la traverser dans une zone pas trop dangereuse. Il est guidé pour ça par une carte, et les explications qu’il avait eu par son guide, mais qu’il avait partiellement compris.
Entre la journée qui passe, le trajet qui ne se passe pas comme prévu, la nuit qui tombe et la température qui chute rapidement, avec un vent assez important, des erreurs qui forgent l’expérience, il n’est pas prêt d’oublier cette randonnée qui aurait pu mal tourner.
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La TeamAventuriers avait comme projet de partir au Groenland courir le Marathon en octobre 2015.
Le projet est pour l’instant reporté pour octobre 2016 au mieux, nous ne manquerons pas de vous tenir informé des évolutions.
42 kilomètres dans des conditions hivernales difficiles, pour ce qui s’apparente plutôt à un trail nordique qu’un Marathon classique.
Mais que les images doivent être belles, que les sensations doivent être décuplées.
C’est pourquoi nous vous proposons de nous suivre dans cette aventure commune :
Suivez-ici l’organisation de ce projet, soutenez-nous, et si vous souhaitez participer ou nous accompagner, contactez-nous.
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