A l’arrivée de l’automne, il est d’autant plus important de bien s’équiper et de respecter le système des 3 couches de vêtements dans ses aventures en plein air.
La couche de base est souvent négligée alors qu’elle est essentielle pour garder sa peau au sec et maintenir une température agréable. Cette première couche doit donc être respirante et c’est justement la promesse de la marque Icebreaker avec ses vêtements en mérinos. C’est parti pour le test du 250 Vertex Long Sleeve Half Zip Drift Icebreaker avec Maider du blog MadebyMaider qui nous emmène randonner au Pays basque.
Caractéristiques : – 100% Merino
– Coupe repensée
– Col zippé pour réguler la température
– Coutures décalées aux épaules pour éviter le frottement du sac
– Coutures latérales avancées pour le confort
– Goussets aux aisselles pour le confort et la mobilité
– Ourlet arrière abaissé pour plus de protection
– Longueur milieu dos : 68,9 cm/27¼ » en taille M
Premières impressions
Le modèle est léger et aussi agréable au toucher qu’à porter.
Le design et la coupe ont été bien étudiés : j’apprécie le col zippé, la coupe près du corps mais pas moulante et la longueur qui permet au choix de rentrer le T-shirt dans le pantalon ou bien couvrir son dos.
J’ai choisi le coloris « Snow/Black » en taille S, super facile à porter avec un legging noir et féminin sans tomber dans le girly outdoor.
L’atout principal : la douceur et la super coupe
Avis à l’utilisation
Comme d’habitude, Icebreaker tient sa promesse avec un mérinos de grande qualité : le T-Shirt tient chaud comme il maintient au frais ! Je suis partie dans l’après-midi, c’était une belle journée d’automne donc je n’ai pu porter que le T-Shirt et cela suffisait parfaitement. Au coucher du soleil, le T-Shirt assure sa fonction de couche de base sans problème, il me suffit d’ajouter un coupe vent !
Autre gros point positif du mérinos : la matière est ultra respirante. Parfait pour une journée et encore plus pour des treks de plusieurs jours grâce à sa résistance aux odeurs.
Au lavage, rien à dire, il ressort comme neuf après plusieurs utilisations !
Polyvalent, respirant et résistant, ce T-Shirt Icebreaker est vite devenu un essentiel en randonnées !
A embarquer dans son sac à toute saison même en plein été pour des bivouacs au frais.
*Création de contenu réalisé en partenariat avecIcebreaker.
L’été dernier j’avais la chance de participer à un stage préparatoire en vue de tenter l’ascension du toit de l’Europe occidentale. Victime de son succès, le Mont Blanc est une course d’alpinisme facile populaire. Mais les raisons de monter « là-haut » sont aussi diverses que contradictoires… Je te raconte ici mon expérience personnelle jusqu’à l’ascension !
Mes craintes
Depuis que je randonne en montagne et plus particulièrement dans les Alpes, le Mont Blanc a toujours été un sommet qui m’inspirait autant de respect que de crainte. C’est difficile à expliquer, mais c’était viscéral. Je l’ai souvent contempler avec respect. Peut-être à cause d’un manque d’expérience et de connaissance du milieu ? Je ne sais pas trop comment l’interpréter mais j’ai toujours pensé sincèrement que je n’étais pas capable de grimper sur le plus haut sommet des Alpes.
Sa masse blanche a de nombreuses fois été la toile de fond de mes aventures sans jamais en devenir le décor tangible.
Mais ce n’était pas compter sans ma curiosité pour les activités outdoor… J’ai en effet eu la chance de faire quelques courses d’alpinisme faciles qui ont définitivement scellé ma relation avec les cimes : j’adorais la haute montagne.
J’aime cette façon de progresser au rythme du souffle et des coups de piolets bien marqués, cette manière franche et résolument volontaire de franchir les obstacles mais surtout de « s’élever vers les cieux » avec technique, prudence et dépassement de soi.
IL FAUT SELON MOI VIVRE L’EXPÉRIENCE AU MOINS UNE FOIS POUR SE RENDRE COMPTE DU PLAISIR QUE L’ON PEUT AVOIR À ÉVOLUER SI PROCHE DU ROYAUME DES CIEUX.
Faire le pas
Et puis au détour d’une discussion, on me soumet l’idée de « grimper sur le Mont Blanc »en me proposant d’abord de participer à un stage qui me permettrait de me préparermais surtout ensuite de tenter une ascension par la voie normale organisée avec des guides professionnels.J’ai senti que c’était la chance de ma vie de combattre mes appréhensions et j’ai donc directement accepté…
Un stage préparatoire
C’est donc avec la Compagnie des Guides de Saint-Gervais Les Contamines que je décide de me lancer à l’assaut de ce géant blanc. Victime de son succès, le Mont Blanc est malheureusement devenu une « attraction » et que les candidats sont nombreux en été. Mais il faut savoir que l’ascension du Mont Blanc ne se fait pas en un claquement de doigts et qu’elle peut malheureusement très vite tourner au drame (comme on a pu le voir ces tristes derniers mois).
Le fait est que même si l’itinéraire de la voie normale ne présente pas de grosse difficulté technique, le sommet culmine néanmoins à près de 5000 mètres d’altitude (4810 mètres pour être précis), ce qui en fait un objectif remarquable s’insérant dans une catégorie de course qui demande prudence, expérience et préparation physique !
Ce stage de 2-3 jours (5 pour nous) était donc être un bon moyen de me préparer à la progression en cordées, à appréhender le matériel, et surtout m’habituer à l’altitude. ILPERMET DONC SIMPLEMENT DE METTRE TOUTES LES CHANCES DE SON CÔTÉ POUR RÉUSSIR L’ASCENSION. Car tenter une ascension « aller/retour » sans s’acclimater et sans connaissances/guide est selon moi du suicide.
Jour 1 et 2 : Initiation alpine : Prise de connaissance du matériel et des techniques de base d’escalade et d’alpinisme, montée en refuge et ascension d’un petit sommet (Aiguille de la Bérengère).
Itinéraire :
Saint-Gervais > Refuge Tre-La-Tête (750 D+)
Refuge Tre-La-Tête > Aiguille de la Bérengère > Refuge des Conscrits (1455D+ / 850D-)
Refuges Conscrits > Saint-Gervais
Jour 3 : récupération et prise de décision : la météo est bonne et nos guides sont sereins. C’est officiel : demain nous tentons l’ascension !
Jour 4 et 5 : Ascension…
J’espère que vous avez apprécié cette première partie de cette aventure dont le meilleur reste à venir…
La route des Grandes Alpes est une route mythique qui traverse toute les Alpes de Thonon-les-bains, sur les rives du Lac Léman, à Nice, au bord de la Méditerranée. Avec ses cols de haute montagne et ses 16 000 mètres de dénivelé, c’est l’une des routes les plus impressionnantes dans le monde du cyclisme.
Itinéraire pour faire la Route des Grandes Alpes en 14 jours
Pour les cyclistes chevronnés, la Route des Grandes Alpes se fait en plus ou moins 7 jours en fonction de votre capacité physique et du temps journalier que vous souhaitez passer sur les vélos.
Pour Claudia et Clément, pas question de se presser. Ils veulent prendre leur temps pour combiner le voyage à vélo et les activités dans les stations. Ils ont donc décidé de parcourir la Route des Grandes Alpes en 2 semaines avec des vélos à assistance électrique. Ils pédalent ainsi le matin et profitent de l’après-midi pour faire des randonnées, du rafting, du canyoning, du parapente…
Grâce à l’assistance électrique, les cols mythiques des Alpes ne sont plus réservés aux cyclistes professionnels du Tour de France. La Route des Grandes Alpes est également accessible aux voitures et aux motos mais, avec la démocratisation des VAE, la pratique du vélo séduit de plus en plus de personnes.
Notre itinéraire de la route des Grandes Alpes en VAE :
Jour 1 : De Thonon-les-Bains aux Gets, 40km, dénivelé positif : 1000 mètres. Passage du Col des Gets (1170 m).
Jour 2 : Des Gets au Grand Bornand, 48km, dénivelé positif : 1300 mètres. Passage du Col de la Colombière (1613 m).
Jour 3 : Du Grand Bornand à Beaufort, 51km, dénivelé positif : 2100 mètres. Passage du Col des Aravis (1486 m) et du col des Saisies (1650 m).
Jour 4 : De Beaufort à Bourg-Saint-Maurice, 40km, dénivelé positif : 1445 mètres. Passage du Cormet de Roselend (1968 m).
Jour 5 : De Bourg-Saint-Maurice à Val d’Isère, 33km, dénivelé positif : 1400 mètres.
Jour 6 : De Val d’Isère à Termignon, 55km, dénivelé positif : 1050 mètres. Passage du Col de l’Iseran (2764 m).
Jour 7 : De Termignon à Valloire, 52 km, dénivelé positif : 1090 mètres. Passage du Col du Télégraphe (1566 m).
Jour 8 : De Valloire à Monêtier-les-Bains, 40km, dénivelé positif : 1280 mètres. Passage du Col du Galibier (2677 m) et du Col du Lautaret (2058 m).
Jour 9 : De Monêtier-les-Bains à Guillestre, 65km, dénivelé positif : 1450 mètres. Passage du Col d’Izoard Variante : De Monêtier-les-Bains à Risoul, 72km, dénivelé positif : 2400 mètres. Passage du Col d’Izoard (2360 m) + montée jusqu’à la station de Risoul. Il faudra ensuite redescendre à Guillestre le lendemain.
Jour 10 : De Guillestre au Sauze, 52km, dénivelé positif : 1490 mètres.
Jour 11 : Du Sauze à Valberg, 80km, dénivelé positif : 2500 mètres. Passage du Col de la Cayolle (2326 m) et du Col de Valberg (1669 m).
Jour 12 : De Valberg à La Colmiane, 42km, dénivelé positif : 1160 mètres. Passage du Col de la Couillole (1678 m).
Jour 13 : De La Colmiane à Nice, 80km, dénivelé positif : 1000 mètres. Passage du Col Saint Martin (1500 m).
Il est possible de rajouter un 14ème jour en passant par le superbe col de Turini et en faisant étape à Sospel avant de repartir pour Nice en passant par Menton.
Equipement pour voyager en itinérance sur la Route des Grandes Alpes
L’assistance électrique des vélos ne permet pas de monter les cols comme sur un scooter car il faut tout de même pédaler et, en fonction du niveau d’assistance souhaité, la montée peut être plus ou moins difficile. Il faut vraiment bien gérer sa batterie pour ne pas tomber en panne car, lorsque l’assistance ne fonctionne plus, la montée est beaucoup plus difficile car les vélos sont plus lourds qu’un vélo classique !
Comme à chaque voyage en montagne, il faut bien s’équiper été comme hiver pour voyager en toute sécurité. La météo est changeante et, en été, les orages ne sont pas rares. Il vous faut donc un équipement adapté.
Liste du matériel pour voyager en itinérance :
Porter un casque adapté à la pratique du vélo.
Deux sacoches étanches à mettre à l’arrière du vélo.
Un pantalon convertible.
Un short.
4 T-shirts techniques à manches courtes.
1 T-shirt Merinos à manches longues.
2 cyclistes.
Un pantalon de pluie.
Chaussettes/sous-vêtements.
Une paire de chaussures fermées
Une polaire.
Un coupe vent imperméable.
Un tour du cou.
Des gants.
Un maillot de bain.
Lunettes de soleil.
Crème solaire.
Deux grandes gourdes.
Votre trousse d’hygiène (brosse à dent…).
Un anti-vol si vous voulez vous arrêter pour faire des randonnées sur la Route?
Une bâche de 2m pour s’abriter et protéger le vélo rapidement en cas de grêle ou de grosse pluie.
De quoi réparer le vélo (pompe, chambre à air, bombe anti-crevaison, graisse pour la chaîne, outil multifonction, plaquettes de freins).
Le guide papier « La Route des Grandes Alpes à vélo et vélo électrique« par la GTA Move Your Alps.
Pensez à bien répartir le poids dans les sacoches pour ne pas vous déséquilibrer dans les virages. Les affaires les plus utiles doivent être rangées au dessus afin de pouvoir les attraper plus facilement.
Notre bilan de la Route des Grandes Alpes
Grâce aux différents aménagements pour les VAE le long de la Route des Grandes Alpes, le voyage en itinérance est grandement facilité. On peut maintenant recharger les batteries tout le long du parcours sans difficulté.
Les paysages des Alpes sont magnifiques et cette route de 720km permet de découvrir toute la diversité de la montagne d’une vallée à l’autre.
Claudia et Clément ont ainsi traversé de grandes forêts et des paysages désertiques. Ils ont profité de magnifiques vues sur des glaciers et ont pu se baigner dans des lacs d’altitude…
Et vous, est-ce qu’un tel voyage vous donne envie ?
Lorsque l’on se lance ou que l’on souhaite se lancer dans la pratique du trail après une longue période sans activité sportive de la sorte, on commence en général par une petite sortie running en forêt ou en ville histoire de se décrasser et on se rend compte vite d’une chose : notre ville paire d’adidas usée ne fait plus vraiment l’affaire.
Le choix de la bonne paire de chaussure de trail
Il y a de multiples facteurs qui font influencer le choix de la bonne chaussure de trail.
Tout d’abord votre morphologie et votre poids.
Une personne qui fait moins de 75kr n’aura pas les mêmes besoins qu’une personne qui fait plus de 90kg. L’impact sur vos articulations, sur votre voûte plantaire ne sera pas le même. Il faut que le choix de la chaussures de trail soit bien adaptée.
C’est un critère dont on fait peut attention au d’abord, surtout quand on débute une activité nouvelle mais une fois que l’on a entendu de la part de coureurs plus expérimentés les blessures subies par une mauvaise connaissance de ses besoins, notre regard change rapidement.
Il y a 3 termes scientifiques pour décrire le type de foulée, on ne va pas rentrer dans les détails (pour cela, mieux vaut consulter un expert en la matière : un podologue) et pour faire court, il y a quelques indicateurs :
une foulée pronatrice : elle utilise davantage la partie intérieure de le semelle
une foulée universelle : elle utilise davantage la partie centrale de la semelle
une foulée supinatrice : elle use davantage la partie extérieur de la semelle
Voir un podologue permet de déterminer votre foulée et de répondre à un besoin de correction, si nécessaire, via des semelles orthopédiques afin de prévenir (ou d’éviter la poursuite) de blessures chroniques.
Maider, membre de la Teamaventuriers, du blog Made By Maider sur la Winter spartan race
Le type de terrain envisagé.
Personnellement, je ne sors pas avec les mêmes chaussures si je vais courir sur un chemin avec une partie du trajet goudronné, sur simple sentier forestier ou si on est sur un terrain divers, avec du dénivelé et en montagne. En clair, un terrain meuble, rocailleux, dure influera fortement sur le choix le plus adapté pour votre chaussure. Le type de terrain modifie l’absorption du choc de la foulée par votre organisme et le type de chaussure en ce cas a toute son importance.
Dans mon cas, je n’apprécie pas vraiment les terrains goudronnés et lorsque je dois me les infliger dans le cadre de mes sorties quotidiennes, je vais choisir une chaussure avec un gros amorti (comme les hooka) histoire de courir tout en douceur. A l’opposé, en terrain montagneux et sec, je vais avoir tendance à vouloir « sentir » le terrain donc je prendrai des chaussures avec un amorti bien plus faible. Enfin, si le terrain est boueux, il faut accrocher donc il faut de gros crampons (plus gros que ceux sur un terrain forestier par ex) et il ne faut pas non plus que ces derniers soient trop nombreux et rapprochés au risque d’accrocher la boue au lieu de faciliter justement son évacuation.
Nicolas, membre de la TeamAventuriers, auteur du blog carnet nordique
La fréquence d’utilisation
Il y a un mot qui va vous faire grincer les dents c’est l’usure. Certains paires de chaussures de trail s’usent très vite et le modèle de compétition de votre champion (celui de Kilian Jornet par exemple) qui vous faisait tant rêver n’est pas forcément adapté pour vos sorties quotidiennes mais correspond davantage à un besoin spécifique : la compétition.
Par ailleurs, il ne faut pas oublier que cela a un coût. Une bonne paire de chaussure de trail c’est tout de même un investissement qui se monte en centaines d’euros donc son utilisation et sa bonne exploitation pour la faire durer au maximum a de l’importance. Si une paire « suffit » à vos besoins de 2 sorties par semaine en forêt, nul besoin d’user prématurément celle que vous souhaitez réserver pour les compétitions par exemple.
Quoiqu’il en soit, suivant votre type d’usage, qu’il soit régulier (plusieurs fois par semaine), plus rare (1 fois par semaine) ou spécifique (pour une compétition), là aussi, ce n’est pas la même paire qu’il faudra prendre avec vous.
Petite interview avec Nicolas, membre de la TeamAventuriers et amoureux de trail
Comment te prépares-tu pour une sortie trail ?
Je passe du temps à choisir ma tenue, en fonction du temps, ainsi que mes différents accessoires (sac d’hydratation si je pars longtemps, veste coupe-vent, matos photo (et oui…), et bien sûr mes chaussures de trail, car j’en ai un certain nombre, et chacune a ses spécificités. –
Sur quelles critères détermines-tu une bonne paire de chaussures trail à tes yeux ?
Une bonne accroche, pas trop lourde, un drop inférieur à 4mm (pour moi), pas trop d’amorti (j’aime bien sentir le sol), et une toebox assez large; maintenant, tout va dépendre du terrain, et du temps, car courir sur des sentiers larges par temps sec ne sera pas pareil que courir sur des zones plus techniques et mouillées, de même que courir en forêt n’est pas pareil que courir à la montagne. –
Où peut-on te retrouver pour tes entraînements et quels sont tes prochains projets trails ?
On peut venir courir avec moi le midi à Paris (entre Montmartre et les Quais de Seine), dans la Forêt de Fontainebleau…tôt le matin ! Actuellement, j’ai (toujours) le projet du Marathon du Groënland, et j’aimerais participer à 1 ou 2 trails en montagne (Marathon du Mont-Blanc, OCC, ou autre…)
Comment te prépares-tu pour une sortie trail ?
Je ne prépare pas. Je veux dire par là que le trail, c’est la liberté. J’ai abandonné tout type d’entrainement depuis deux ans. Je cours au feeling. Je maintiens simplement une activité minimale par semaine afin d’être capable de courir 40km sans avoir la nécessité de suivre un plan d’entrainement.
Sur quelles critères détermines-tu une bonne paire de chaussures trail à tes yeux ?
Il n’y a pas une bonne chaussure de trail. Cela dépend de tellement de paramètres. Personnellement, j’ai mes goûts personnels. J’aime les chaussures dynamiques avec un drop faible qui permet de respecter ma foulée naturelle. J’aime particulièrement le fit des Salomon car il maintient mon pied correctement (j’ai le pied fin). Après, c’est surtout le type de terrain qui va déterminer quelle chaussure je vais prendre. Si c’est de la boue, sur rocher en montagne ou sur terrain sec, la semelle aura toute son importance comme on s’en doute. La longueur de la course est aussi un autre paramètre à prendre en compte. J’aurai tendance à prendre des chaussures un peu plus amortie sur du long. Elles perdent en dynamisme mais je gagne en confort.
Où peut-on te retrouver pour tes entraînements et quels sont tes prochains projets trails ?
Je ne partage plus mes entrainements que sur Strava. Comme je l’ai dit, comme je ne suis plus vraiment un entrainement classique, cela ne sera pas très utile aux personnes. Je suis tellement touche à tout que mon entrainement comporte de la course à pied, du vélo (beaucoup en ce moment) mais aussi de la randonnée. Sur ce point, beaucoup rigolent de moi quand je dis ça mais la randonnée peut être un très bon entrainement en course à pied. En effet, certes, on ne travaille pas la VMA mais marcher 30km en montagne avec 1200 D+ et 10kg sur le dos, je peux vous assurer que ça vous muscle les jambes comme jamais. Dans cette perspective, je n’ai plus de projets trail. La compétition me lasse. J’ai envie de choses plus engagées, plus personnelles aussi et surtout loin de la foule. Cela ne veut pas dire que je ne ferai plus de compétitions mais elles ne sont pas du tout programmées. J’ai quelques courses prévues ici en Belgique. J’aimerais aussi refaire une course en montagne l’été prochain mais je n’ai encore aucune idée de laquelle.
Fondateur de la TeamAventurier, Piotr partage ses aventures outdoor sur 1001 pas ainsi que ses voyages sur Bien Voyager. Son gros projet est la conquête des 7 sommets et de longs treks en solitaire.
Il y a quelques jours Maider du blog MadebyMaider racontait ses aventures sur l’île de Madère…
Un peu d’exploration urbaine mais surtout beaucoup d’activités outdoor : trail, randonnée, canyoning, escalade… Toutes les conditions étaient remplies pour tester les nouvelles chaussures Merrell MQM Flex et partager son avis !
Caractéristiques :
– Tige mesh et TPU
– Membrane GORE-TEX® imperméable
– Doublure mesh respirante
– Amorti Merrell air cushion sous le talon pour absorber les chocs
– Semelle intermédiaire EVA bi-directionnelle flexible avec technologie FLEXconnect™
– Rembourrage TrailProtect™
– Semelle extérieure avec M Select™ GRIP
Première prise en main
Ma première impression aux pieds : la légèreté et la souplesse.
Petite surprise sur la pointure, elles taillent grand. Prenez jusqu’à une taille en dessous de votre pointure habituelle pour les chaussures de randonnée.
Design
Le modèle est fin, sobre et féminin.
La semelle est épaisse et assure d’ailleurs un super amorti grâce au Merrell air cushion sous le talon qui absorbe les chocs
Coup de coeur pour le modèle « Merrell fruit punch » qui porte bien son nom ! Merci Merrell d’avoir fait un modèle féminin et coloré sans tomber dans le rose et le girly 😉
L’atout principal : la légèreté et l’adhérence
A l’utilisation
Destinées surtout à de la petite randonnée ou du fast-hiking, j’ai eu l’occasion de les tester dans pleins d’activités outdoor : randonnée, trail, descente en rappel…
Le grip est excellent et offre une très bonne adhérence même sur les terrains glissants. C’est pour moi son principal atout.
Autres points positifs :
– La semelle est très flexible et de ce fait la chaussure s’adapte parfaitement aux mouvements du pied. En revanche, cela pourrait poser problème pour celles qui ont des chevilles fragiles.
– Chaussure respirante et imperméable grâce au Gore-Tex. Les pieds restent au sec après plusieurs randonnées et passages pluvieux. Bonus : peu d’odeurs et séchage rapide.
Très polyvalentes et résistantes, les chaussures Merrell MQM seront idéales en voyage ou pour des randonnées en petites et moyennes montagnes.
A embarquer dans sa valise en mi-saison comme en plein été (en plus elles prennent peu de place).
*Création de contenu réalisé en partenariat avec Merrell
En dehors de la capitale Irlandaise, Dublin, et de sa myriades de ruelles et des pubs centenaires qui remontent au XIIème siècle pour les plus vieux d’entre eux, il y a au sud de la ville le parc national des montagnes de Wicklow qui offre la possibilité de belles sorties pour aller brûler un peu de ces calories accumulées à coup de Guinness assis aux comptoirs des meilleurs pubs de la ville.
Les montagnes de Wicklow
Les montagnes de Wicklow se trouvent dans le conté du même nom et constituent la plus vaste région de plateaux d’Irlande. Bien que le climat de l’Irlande soit doux tempéré, assez pluvieux, un peu comme ceux en Ecosse, grâce au Guld Streem, avec des sommets avoisinant quasiment les 1000m, la neige peut se maintenir pendant 1 mois sur les plus sommets du massif. Le parc qui protège ce joyau irlandais est assez récent, il date des années 90 et est constamment agrandi afin de préserver de l’attrait croissant et du tourisme grandissant des dublinois et régions alentous cet écosystème unique en Irlande.
La randonnée du grand pain de sucre : Le great sugar loaf
Cette petite montagne qui a l’aspect d’un volcan dont on aura pu imaginé les coulées de lave il y a fort longtemps est nommée ainsi car le quartz clair qui la recouvre lui donne un air de pain de sucre. On la nomme « great » car il ne fois absolument pas la confondre avec sa petite sœur, qui a la même forme et les mêmes caractréristiques et que l’on nomme : la Little Sugar Loaf:)
Dénivelé positif : 500m
Situation : à l’est du parc de Wiclow, prendre la E01 pour la trouver
La balade du phare de Wicklow : Wicklow Head lightouse
Ce n’est certes pas le plus beau phare d’Irlande avec sa couleur grise, plutôt terne et austère, mais cette courte balade jusqu’aux portes de l’océan offrira déjà quelques bonnes raisons de sortir son appareil et, au pire, on peut toujours lui ajouter de la couleur sur photoshop.
Durée : 1h max
La plus difficile, la randonnée de la montagne Lugnaquilla
Elle se lit Log na Coille en gaélique (sans « u », s’il vous plaît, restons courtois!).. Treizième sommet d’Irlande avec ses 925m, le plus haut du conté, monter jusqu’au plateau final est l’une des randonnées les plus difficiles des Wiclows. La récompense depuis le plateau summital est une belle vue sur le massif tout entier et, par temps très clair et dégagé, on aperçoit également la mer.
Durée : 8h aller, 6h retour (en théorie)
Accès direct : via le Glen of Imaal
Le plus long, un tour en vélo sur la old military road
S’enfonçant au cœur même du parc, c’est une route militaire datant du XIXème siècle qui a été initialement construite par les anglais pour pouvoir facilement traquer les rebelles irlandais qui se cachaient dans les contreforts du massif de Wicklow. Sur votre route vous attendent une vue sur les lacs glaciaires (dur à s’imaginer des glaciers en Irlande et pourtant, avec toute cette pluie, quelques degrés de moins et vous avez un tas de neige qui tombe et qui ne fond pas sur le massif, un peu comme les terres intérieures d’Islande) de Kippure Mountain : le Lower Lough Bray ainsi que le le Upper Lough Bray. Vous traverserez le village de Laragh avec ses maisons colorées ainsi que la verdoyante vallée de Glenmacnass. Pour clore le tout, il y a le mystique site monastique de Glendalough, coin perdu avec ses églises en ruine, son cimetière, tous droits sortis d’un conte fantastique !
Durée : plusieurs jours
La plus haute cascade d’Irlande : Powerscourt Waterfall
Avec 121 d’altitude, c’est la plus haute cascade d’Irlande. Elle se trouve dans la dans la propriété de Powerscourt où se trouve également un magnifique manoir paladien, dans la localité de Enniskerry. C’est une partie du fleuve de Dargle en provenance des montagnes de Wicklow qui s’t déverse
Quand on pense camping, il y a différentes expériences qui nous viennent à l’esprit. Tout dépend de notre âge, des choix et goûts des parents, des destinations envisagées. Il y a ceux pour qui le camping est une tradition, avec leur emplacement favori, les connaissances qu’ils retrouvent chaque année avec qui ils partagent apéros quotidien et le sourire détendu qui illumine le visage de ceux qui profitent de la douceur estivale, un peu comme la comédie bon enfant « Camping » avec Franck Dubosq, il y a d’autres pour qui le mot camping rime aussi avec le camping plus sauvage. Un lieu à soi, que l’on imagine protégé, caché, bien à l’écart des hommes, du bruit, de la civilisation.
Un lieu où l’on voit les étoiles la nuit. Inspiré et émerveillé par notre petitesse face à la grandeur de la voie lactée. Un lieu où notre tente posée près du feu où cuit le repas du soir est notre unique refuge pour la nuit alors que Dame Nature nous laisse entrevoir ses merveilles.
Il y a cette très belle vidéo qui a été réalisée par un collègue en montagne qui y a emmené son enfant qui découvrant les joies du camping en montagne pour la première fois. On sent la magie dans ces images. Un enthousiasme et les doux premiers souvenirs de cette expérience.
J’aime les campings nature. Que ce soit en montagne, en forêt, au bord d’un lac si possible, afin de profiter des premières lueurs pour un saut matinal. En été, je crois qu’il n’y a pas réveil plus vivifiant que de plonger dans l’eau fraîche qui vous met une bonne claque de bon matin. J’ai pu le faire nu en Finlande, on se sent comme replongé dans l’insouciance de l’enfance. Bon, c’était dans un endroit assez reclus donc je déconseille d’essayer cette pratique n’importe où au risque d’écourter votre séjour pour atteinte à la pudeur.
Avec le camping sauvage, il faut néanmoins prendre tout le nécessaire avec soi. Trouver un point d’eau, prendre assez de nourriture pour profiter du lieu. On ne peut pas rester éternellement sur place à moins de prendre un sac de 20kg, surtout si on est également venu prendre quelques photos avec son matériel photo. Cela implique pas mal de contraintes et en vacances, surtout avec sa petite famille, ce n’est pas évident d’imposer toutes ces restrictions. Et puis, malheureusement, tout le monde ne laisse pas le lieu aussi intact qu’ils l’a trouvé. C’est triste de voir que certains qui disent aimer la nature ne la respectent pas. Certains ne sont pas faits pour apprécier les simples bienfaits de poser sa tente dans la nature.
Pour ceux qui aiment profiter d’un séjour camping sans faire totalement abstraction de son confort, il y a des sites qui peuvent vous faciliter la recherche comme fr.camping-and-co.com. On sélectionne par tarif, par situation (au bord d’un lac ou en montagne pour ma part), par région… tiens, avec mes préférences, je déniche ce camping de 90 emplacements, les Rives de l’Ardèche en région Rhône-Alpes, près d’une rivière et pas loin du parc régional des Monts d’Ardèche… de quoi faire de jolies balades.
On peut faire sélection de multiples options forts utiles : type de confort, les infrastructures présentes, sélections par la taille… et on peut aussi vérifier si notre animal de compagnie y est le bienvenue. Pour ceux qui aiment partir en vacances avec leur compagnon fidèle à 4 pattes, il n’y a pas dire, cela facilite la vie avec un gain de temps pour les recherches considérable !
A chacun de se faire son expérience à partager entre amis ou en famille. Ce qu’il y a de bien, c’est que l’on trouve pour tous les budgets et tous les goûts. Moi je suis plutôt montagne mais les sportifs qui préfèrent les vagues ou ceux qui apprécient le calme de la campagne au bord d’une piscine trouveront aussi leur bonheur.
La montagne est partout. Les reliefs propices aux activités de montagne ne se trouvent pas que dans nos belles Alpes françaises. Pour les amoureux de la randonnée, il y a évidemment 10 magnifiques treks à découvrir en France mais certains pays exotiques, que l’on a davantage l’habitude d’associer aux plages, peuvent nous révéler bien des surprises !
CHILI
Quand on parle du Chili il vous vient forcément à l’esprit le splendide parc Torres del Paine. Avec deux boucles principales à découvrir, la boucle W (de 76km) ou le boucle O (de 150km), plus complète. L’objectif de ce périple est normalement d’apercevoir et de ramener une photo des tours depuis le Mirador de las Torres. Néanmoins, dans cette partie du monde, la météo peut-être plus que capricieuse et il est possible que durant toute votre traversée, qui peut prendre une dizaine de jours pour la boucle O, vous ne voyiez rien. Le vent et la pluie peuvent saper le moral des plus combatifs.
Après un trek en Patagonie, et si on s’attaquait au second plus haut sommet d’Amérique ? Difficile à deviner qu’il se trouve au Chili et pourtant. Les amoureux de la montagne connaissent bien l’Aconcagua, en Argentine (on y reviendra) mais connaissent l’Ojos del Salado qui se trouve dans la région d’Attacama ? Ce volcan assoupi, considéré comme encore actif, fait partie des 7 sommets secondaires et des 7 sommets volcaniques. Il n’a pas à rougir face à l’Aconcagua car il ne le précède que de peu avec ses 6 893m. Un sommet qui ne présente pas beaucoup de difficultés techniques mais qui peut être sujet à des vents violents atteignant les 160 km/h avec un froid intense qui peut descendre à -40.
La Bolivie est le Chili ont une frontière commune et si vous êtes dans la région de l’Attacama, le saut d’un pays à un autre pour réaliser des treks ou des sommets est des plus courants. On ne peut pas vous en vouloir, le Salar d’Uyuni n’est pas si loin et c’est une merveille à contempler.
Un trek dans la Cordillère Royale de Serata jusqu’à la Casa Blanca avec des 5000m ou des 6000m comme le plus emblématique de la Cordillère Royale, l’Illimani (6439 m), cela vous tente ? On voit sa silhouette briller comme un diamant depuis la capitale bolivienne de La Paz, ce joyau ne peut que nous attirer. Si l’Illinani et ses pentes à 45 degrés nécessitant de bonnes connaissances en alpinisme sont une trop grande difficulté pour vous, il y a toujours la possibilité de se « contenter » du Sairecabur, plus accessible car c’est un sommet de trek. Le Huayna Potosi, avec des pentes raides à 60 degrés voir 80 degrés présente des difficultés un cran au dessus.
Il y a de la neige au niveau de l’Equateur, si si ! Vous en doutiez, allez voir un peu du côté des géants de pierre comme le Cayambe qui est situé à l’est des Andes équatorienne, dans la province de Pichincha, sur la ligne de l’Equateur avec de la neige à son sommet toute l’année. Il fait partie, avec le mont Chimborazo (6268 m), point culminant du pays, des deux plus hauts volcans de l’Equateur. Il ne faut pas, dans cette équation qui nous pousse à pousser au-dessus des 5000m, oublier le non moins célèbre Cotopaxi (5897 m) qui, étant proche de Quito, la capitale du pays (il se trouve à 55km) est très prisé justement du fait de sa proximité qui le rend beaucoup plus accessible.
On peut penser qu’à part le canal qui porte le même nom, la farniente, siroter quelques cocktails et jouer quelques cartes font parties des seules activités à faire au Panama. Que neni ! Il y a un peu de montagne au Panama, on peut se mettre quelques milliers de mètres de dénivelés sous les pieds avec des sommets à 3000m d’altitude dont le plus haut, celui du volcan éteint de Baru qui culmine à 3 475 m. Certes ce n’est pas le Mont Blanc mais ces sommets de plus de 3000m et leurs vallées qui trouvent leur origine au Costa Rica avec la Cordillère Talamanca (ici nommée Cordillère de Chiriqui et de Serrania de Tabasara) font office de climatiseur naturel. Là-haut, la température descend sous zéro, de quoi se rafraîchir après la bronzette sous la plage et les premiers pas suffocant avec la marche d’approche.
On ne peut pas parler d’Argentine sans, naturellement, évoquer l’imposant Aconcagua, plus haut somme du continent américain et donc d’Amérique latine, avec son petit frère, l’Ojos del Salado qui lui se trouve au Chili. Le niveau technique requis pour l’Aconcagua par la voie normale reste facile sauf si souhaite s’élance face aux 3000m de la face sud. Néanmoins, cela reste de la très haute montagne, l’Aconcagua, le plus haut sommet des Andes, étant quasiment un 7000m. Cela en fait un trek de très haute altitude qui nécessite une excellente condition physique et une très bonne acclimatation. Dans tous les cas, il faut se prépare à des conditions rudes et une météo, comme c’est le cas en haute montagne, qui peut drastiquement augmenter le niveau de l’ascension voir la rendre impossible. Si c’est le cas, on peut toujours se rabattre sur une randonnée dans le massif du Fitz Roy si on souhaite repartir avec des étoiles plein les yeux.
Une journée entre amis dans le désert des Bardenas Reales, l’occasion de tester mes chaussures TEVA Arrowood Lux et de faire quelques images !
Caractéristiques :
– Tige en cuir imperméable
– Membrane imperméable résistante à la pluie
– Chausson en caoutchouc
– Semelle intermédiaire en Float-Lite™
– Semelle extérieure dotée de picots en caoutchouc
.
Test chaussures TEVA Arrowood Lux : mes impressions
Première prise en main
Ma première impression en enfilant les chaussures : la légèreté et le confort.
On se sent de suite à l’aise et prête pour l’aventure ! Pour des chaussures mi-hautes, elles sont très souples et très agréables à porter.
Design
Enfin des chaussures de randonnée passe partout : look sobre et féminin, on est loin des grosses chaussures de randonnée sans style aux couleurs parfois improbables !
Le maintien est suffisant pour des randonnées simples et la semelle assure un très bon amorti pour des chaussures au poids plume.
Petit bémol sur la respirabilité des chaussures, toujours l’inconvénient des chaussures en cuir…
L’atout principal : le style et le confort
A l’utilisation
Je les ai portées à plusieurs reprises que ce soit dans le désert des Bardenas ou en montagnes pour des petites randonnées. Très polyvalentes avec un joli look en prime, j’en suis très satisfaite.
Légères et très confortables, les chaussures Arrowood Lux seront idéales pour de la randonnée en petites et moyennes montagnes ou pour explorer les coins plus citadins. A la mi-saison, c’est la parfaite paire de chaussures à emporter en vacances !