En dehors de la capitale Irlandaise, Dublin, et de sa myriades de ruelles et des pubs centenaires qui remontent au XIIème siècle pour les plus vieux d’entre eux, il y a au sud de la ville le parc national des montagnes de Wicklow qui offre la possibilité de belles sorties pour aller brûler un peu de ces calories accumulées à coup de Guinness assis aux comptoirs des meilleurs pubs de la ville.
Les montagnes de Wicklow
Les montagnes de Wicklow se trouvent dans le conté du même nom et constituent la plus vaste région de plateaux d’Irlande. Bien que le climat de l’Irlande soit doux tempéré, assez pluvieux, un peu comme ceux en Ecosse, grâce au Guld Streem, avec des sommets avoisinant quasiment les 1000m, la neige peut se maintenir pendant 1 mois sur les plus sommets du massif. Le parc qui protège ce joyau irlandais est assez récent, il date des années 90 et est constamment agrandi afin de préserver de l’attrait croissant et du tourisme grandissant des dublinois et régions alentous cet écosystème unique en Irlande.
La randonnée du grand pain de sucre : Le great sugar loaf
Cette petite montagne qui a l’aspect d’un volcan dont on aura pu imaginé les coulées de lave il y a fort longtemps est nommée ainsi car le quartz clair qui la recouvre lui donne un air de pain de sucre. On la nomme « great » car il ne fois absolument pas la confondre avec sa petite sœur, qui a la même forme et les mêmes caractréristiques et que l’on nomme : la Little Sugar Loaf:)
Dénivelé positif : 500m
Situation : à l’est du parc de Wiclow, prendre la E01 pour la trouver
La balade du phare de Wicklow : Wicklow Head lightouse
Ce n’est certes pas le plus beau phare d’Irlande avec sa couleur grise, plutôt terne et austère, mais cette courte balade jusqu’aux portes de l’océan offrira déjà quelques bonnes raisons de sortir son appareil et, au pire, on peut toujours lui ajouter de la couleur sur photoshop.
Durée : 1h max
La plus difficile, la randonnée de la montagne Lugnaquilla
Elle se lit Log na Coille en gaélique (sans « u », s’il vous plaît, restons courtois!).. Treizième sommet d’Irlande avec ses 925m, le plus haut du conté, monter jusqu’au plateau final est l’une des randonnées les plus difficiles des Wiclows. La récompense depuis le plateau summital est une belle vue sur le massif tout entier et, par temps très clair et dégagé, on aperçoit également la mer.
Durée : 8h aller, 6h retour (en théorie)
Accès direct : via le Glen of Imaal
Le plus long, un tour en vélo sur la old military road
S’enfonçant au cœur même du parc, c’est une route militaire datant du XIXème siècle qui a été initialement construite par les anglais pour pouvoir facilement traquer les rebelles irlandais qui se cachaient dans les contreforts du massif de Wicklow. Sur votre route vous attendent une vue sur les lacs glaciaires (dur à s’imaginer des glaciers en Irlande et pourtant, avec toute cette pluie, quelques degrés de moins et vous avez un tas de neige qui tombe et qui ne fond pas sur le massif, un peu comme les terres intérieures d’Islande) de Kippure Mountain : le Lower Lough Bray ainsi que le le Upper Lough Bray. Vous traverserez le village de Laragh avec ses maisons colorées ainsi que la verdoyante vallée de Glenmacnass. Pour clore le tout, il y a le mystique site monastique de Glendalough, coin perdu avec ses églises en ruine, son cimetière, tous droits sortis d’un conte fantastique !
Durée : plusieurs jours
La plus haute cascade d’Irlande : Powerscourt Waterfall
Avec 121 d’altitude, c’est la plus haute cascade d’Irlande. Elle se trouve dans la dans la propriété de Powerscourt où se trouve également un magnifique manoir paladien, dans la localité de Enniskerry. C’est une partie du fleuve de Dargle en provenance des montagnes de Wicklow qui s’t déverse
Quand on pense camping, il y a différentes expériences qui nous viennent à l’esprit. Tout dépend de notre âge, des choix et goûts des parents, des destinations envisagées. Il y a ceux pour qui le camping est une tradition, avec leur emplacement favori, les connaissances qu’ils retrouvent chaque année avec qui ils partagent apéros quotidien et le sourire détendu qui illumine le visage de ceux qui profitent de la douceur estivale, un peu comme la comédie bon enfant « Camping » avec Franck Dubosq, il y a d’autres pour qui le mot camping rime aussi avec le camping plus sauvage. Un lieu à soi, que l’on imagine protégé, caché, bien à l’écart des hommes, du bruit, de la civilisation.
Un lieu où l’on voit les étoiles la nuit. Inspiré et émerveillé par notre petitesse face à la grandeur de la voie lactée. Un lieu où notre tente posée près du feu où cuit le repas du soir est notre unique refuge pour la nuit alors que Dame Nature nous laisse entrevoir ses merveilles.
Il y a cette très belle vidéo qui a été réalisée par un collègue en montagne qui y a emmené son enfant qui découvrant les joies du camping en montagne pour la première fois. On sent la magie dans ces images. Un enthousiasme et les doux premiers souvenirs de cette expérience.
J’aime les campings nature. Que ce soit en montagne, en forêt, au bord d’un lac si possible, afin de profiter des premières lueurs pour un saut matinal. En été, je crois qu’il n’y a pas réveil plus vivifiant que de plonger dans l’eau fraîche qui vous met une bonne claque de bon matin. J’ai pu le faire nu en Finlande, on se sent comme replongé dans l’insouciance de l’enfance. Bon, c’était dans un endroit assez reclus donc je déconseille d’essayer cette pratique n’importe où au risque d’écourter votre séjour pour atteinte à la pudeur.
Avec le camping sauvage, il faut néanmoins prendre tout le nécessaire avec soi. Trouver un point d’eau, prendre assez de nourriture pour profiter du lieu. On ne peut pas rester éternellement sur place à moins de prendre un sac de 20kg, surtout si on est également venu prendre quelques photos avec son matériel photo. Cela implique pas mal de contraintes et en vacances, surtout avec sa petite famille, ce n’est pas évident d’imposer toutes ces restrictions. Et puis, malheureusement, tout le monde ne laisse pas le lieu aussi intact qu’ils l’a trouvé. C’est triste de voir que certains qui disent aimer la nature ne la respectent pas. Certains ne sont pas faits pour apprécier les simples bienfaits de poser sa tente dans la nature.
Pour ceux qui aiment profiter d’un séjour camping sans faire totalement abstraction de son confort, il y a des sites qui peuvent vous faciliter la recherche comme fr.camping-and-co.com. On sélectionne par tarif, par situation (au bord d’un lac ou en montagne pour ma part), par région… tiens, avec mes préférences, je déniche ce camping de 90 emplacements, les Rives de l’Ardèche en région Rhône-Alpes, près d’une rivière et pas loin du parc régional des Monts d’Ardèche… de quoi faire de jolies balades.
On peut faire sélection de multiples options forts utiles : type de confort, les infrastructures présentes, sélections par la taille… et on peut aussi vérifier si notre animal de compagnie y est le bienvenue. Pour ceux qui aiment partir en vacances avec leur compagnon fidèle à 4 pattes, il n’y a pas dire, cela facilite la vie avec un gain de temps pour les recherches considérable !
A chacun de se faire son expérience à partager entre amis ou en famille. Ce qu’il y a de bien, c’est que l’on trouve pour tous les budgets et tous les goûts. Moi je suis plutôt montagne mais les sportifs qui préfèrent les vagues ou ceux qui apprécient le calme de la campagne au bord d’une piscine trouveront aussi leur bonheur.
Autant l’été, les bâtons de randonnée ou de trail sont facultatifs (bien que très utiles), autant l’hiver il sont indispensables à la pratique de la raquette et des différentes formes de ski. Mais attention à ne pas choisir n’importe quel bâton sous peine de déboires. Imaginez-vous en ski de randonnée avec un bâton cassé ? Pas facile de poursuivre l’ascension qu’on avait programmé. Pour éviter ce type de complications, on vous explique comment bien choisir vos bâtons pour vos activités outdoor hivernales ; et la Boutique du Bâton, spécialisée dans la vente de bâtons et d’équipements pour sports outdoor, vous conseille sur quelques références garanties sans tracas.
Bâton en aluminium ou en carbone ?
On trouve deux grandes familles de matériaux : les bâtons en aluminium et les bâtons en composite (fibre de verre, carbone ou alliage des deux). Les premiers ont la réputation d’être solides, légers et abordables. Les seconds sont plus légers, plus fins, bien équilibrés, tout aussi costauds lorsque le carbone est associé à la fibre de verre mais sont aussi plus chers.
Le nombre de brins va différer selon l’activité. reportez-vous aux chapitres par activité pour plus de détails sur cette question.
Autres critères de choix
La poignée
Le choix d’une poignée est une question de confort. La forme est-elle bien adaptée à votre main ? On distingue trois grands types de matière :
Caoutchouc : souple et résistant dans le temps avec une bonne sensation dans la main.
Plastique : moins agréable au toucher, bon isolant et durable dans le temps.
Liège : léger, très bon isolant, excellente sensation avec la main mais moins durable dans le temps.
La dragonne
On distingue les dragonnes à sangle et les enveloppantes. Les enveloppantes permettent d’améliorer considérablement la poussée. On les utilisera donc plutôt pour le ski de fond. Elles restent agréables à utiliser avec des gants fins. Avec des moufles ou des gants chauds, on préfère l’usage des dragonnes à sangle qu’on utilisera de toute façon pour les autres activités.
La rondelle
Le choix de la rondelle se pose surtout pour la raquette et le ski de randonnée. Attention à bien utiliser une rondelle suffisamment large pour ne pas enfoncer le bâton trop profondément dans la neige. Les bâtons de ski sont équipés en général d’une rondelle large.
Le système de serrage
Les bâtons à 2 et 3 brins disposent d’un système de verrouillage. On distingue :
le système à vis : hauteur réglable par simple rotation d’un brin sur l’autre. Mais par expérience, peut coincer ou se desserrer avec le temps. Les bâtons équipés de ce système de verrouillage sont les moins chers.
le système à clip : hauteur ajustable par clip, rapide, précis et pas de souci de desserrage.
le système pliable : Léger, taille réduite pliée mais ne sont pas tous ajustables en hauteur.
Le prix
Le prix d’une paire de bâtons est forcément un critère de choix. Il peut varier de 20 à 160 € selon l’activité et la technicité du produit.
Quelle taille pour vos bâtons ?
Votre taille
Ski de piste
Ski de fond
(classique / skating)
Rando / Raquettes
1,50 m
105 cm
125 / 135 cm
105 cm
1,60 m
110 cm
135 / 145 cm
110 cm
1,70 m
120 cm
145 / 155 cm
120 cm
1,80 m
125 cm
150 / 160 cm
125 cm
1,90 m
135 cm
160 / 170 cm
135 cm
2 m
140 cm
170 / 180 cm
140 cm
Pour le ski de piste et le freeride
Les bâtons de ski de piste et freeride n’ont qu’un brin. Il ne se règlent pas en hauteur. Il faut donc choisir la taille de son bâton en fonction de sa propre taille (voir le tableau plus haut).
Les conseils de Jérôme de la Boutique du Bâton :
Léki Spark S (59,95 €) : beaux bâtons en aluminium ultrarigide et léger. Poignée Trigger S en mousse à correction angulaire intégrée et dragonne Trigger S Vario. Pointe acier avec rondelle Cobra. Très bon rapport qualité/prix.
Léki Carbon 11 S (119,95 €) : bâtons 100% carbone, léger, dynamique et flexible. Poignée Speed et système TriggerS. Du très haut de gamme pour les disciplines speed et freeride.
Pour le ski de fond
Comme pour le ski de piste, les bâtons pour le ski de fond n’ont qu’un seul brin. La taille du bâton est donc primordiale pour se propulser efficacement sans se fatiguer inutilement. Pour calculer la taille du bâton, il est d’usage d’utiliser le rapport votre taille X 0,83 pour du classique et votre taille X 0,89 pour du skating.
Les conseils de Jérôme de la Boutique du Bâton :
Swix Rc Pro 2016 (69,00 €) : un super rapport qualité / prix. Pour tout type de ski de fond et randonnée.
Léki Genius Carbon (99,95 €): léger, racé, poignée Trigger Shark. Conçus pour des pistes exigeantes.
Swix Carbon Ct3 2016 (179,00 €) : léger, solide, dynamique, c’est le bâton idéal pour le skating et le classique.
Pour le ski de randonnée
Pour le ski de randonnée, il y a les adeptes des bâtons 1 brin, plus solides et ceux qui préfèrent les 2 brins, plus polyvalents. Au sein de la Team Aventuriers, on a une préférence pour les seconds qui sont aujourd’hui tout aussi increvables. Un bâton 3 brins de randonnée prend certes moins de place mais il est en général plus fragile. Voilà pourquoi on ne les utilise pas en ski de randonnée au sein de la Team Aventuriers.
Autre difficulté ? Quelle longueur pour le bâton de ski de randonnée ? Contrairement au ski de piste, à la randonnée ou au ski de fond, il n’y a pas de règle purement établie. Nous avons pour usage d’utiliser une longueur à peu près équivalente au ski de piste pour la descente. En montée, cela dépend du degré de pente et de l’enneigement. Voilà pourquoi, nous préférons des bâtons à 2 brins qui permettent de régler la hauteur du bâton.
Les conseils de Jérôme de la Boutique du Bâton :
Léki Aergolite 2 (99,95 €) : bâtons 2 brins en aluminium hautement résistant. Réglage facile par clip speed Lock entre 110 et 150 cm. Longue poignée pour les mains.
Léki Aergonlite 2 Carbon SL (119,95 €) : bâtons 2 brins en aluminium (partie supérieure) et carbone (section inférieure) réglable de 98 à 145 cm. Léger, solide et bien équilibré. Longue poignée pour les mains. Le parfait bâton de randonnée hivernale pour les randonneurs engagés.
Pour la randonnée et la raquette à neige
Les bâtons de randonnée estivale peuvent être utilisés pour la raquette. Il faudra seulement s’assurer que les rondelles soient suffisamment larges pour vous éviter d’enfoncer démesurément les bâtons dans la neige. Plus les rondelles sont larges, plus elles porteront dans la neige. Une rondelle de 90 mm et plus est à conseiller pour l’hiver.
Les bâtons 2 et 3 brins peuvent convenir.
Les conseils de Jérôme de la Boutique du Bâton :
Guidetti B-Light Carbon (99,99 €) : bâtons 3 brins ultralégers en carbone avec système de serrage Speed Lock. Ajustable de 65 à 135 cm. Vendus avec une paire de rondelles de 60 mm. En option : rondelles 90 mm Guidetti pour la raquette.
Léki Micro Vario Ti System (119,99 €) : bâtons 3 brins pliants en aluminium léger avec serrage Speed Lock. Ajustable de 110 à 130 cm. En option pour la raquette : rondelles Leki de 95 mm.
Bâtons Black Diamond Alpine Carbon Z (139,00 €) : bâtons 3 brins Z pole en carbone conçus pour toutes les saisons. Longueur de 110 à 130 cm. Taille replié de 38 à 45cm. Vendus par paire avec petite et grosse rondelle.
A force de nous demander quel était le sous-vêtement idéal pour une randonnée, on s’est penché sur la question. Il existe deux grandes écoles côté matière : le synthétique d’un côté et la laine mérinos de l’autre. De ces deux types de sous-vêtement, quel est le plus performant ?
Pour répondre à la question, I-Trekkings a réalisé un dossier sous forme de match synthétique contre mérinos autour de 9 critères de comparaison :
Gestion des odeurs
Thermorégulation
Temps de séchage
Confort
Look
Entretien du produit
Durée de vie
Impact écologique
Prix
Pour chaque critère, I-Trekkings vous dévoile quelle est la meilleure matière !
Vestes Softshell : effet de mode ou réelle utilité ?
Voici un article pour vous parler des vestes softshell. Suite à mes articles sur les doudounes et sur les gilets et polaires, qui connaissent un bon succès (à mon niveau je m’entends), j’ai eu des questions concernant le choix de vêtements techniques : quelle veste pour faire du VTT, qu’emmener comme vêtements et comme manteau en Laponie, que me conseillerais-tu comme veste 3 en un, ou comme softshell, qu’est-ce qu’une veste softshell ?
Ayant certaines connaissances dans le domaine de l’outdoor, et m’intéressant à ce type de produits, j’ai approfondi un petit peu et espère que cet article pourra répondre à vos interrogations concernant le softshell.
Passionné des régions nordiques, mais aussi d'activités outdoors et d'aventures, sportif (running, trail dans ma forêt), j'adore avant tout la nature et les grands espaces. Un peu geek, J'écris aussi sur Carnets Nordiqueset Escales Nordiques, où j'y partage mes photos, mes récits de voyages et ce qui me touche.
Pourquoi vous devriez utiliser les bâtons en randonnée.
Ringard, inutile, encombrant, conformisme, effet de mode, peu naturel, pour les vieux…
Nombreux sont les qualificatifs et excuses de ceux qui n’utilisent pas, peu ou mal les bâtons de randonnée. Je pensais pareil… jusqu’à que je m’y mette en Islande lors d’un trek sur l’Eyjafjallajökull.
Certains reportent leur utilisation comme ils reportent une visite chez le dentiste. Préférant la douleur à la prévention de celle-ci et aux soins… jusqu’au jour où comprend qu’en utilisant des bâtons de randonnées on peut aller plus vite, plus loin, plus longtemps. Et ceux qui pensent que c’est uniquement pour les touristes de la montagne, je les invitent à me suivre dans mes randonnées solitaires.
Fondateur de la TeamAventurier, Piotr partage ses aventures outdoor sur 1001 pas ainsi que ses voyages sur Bien Voyager. Son gros projet est la conquête des 7 sommets et de longs treks en solitaire.
Le tarp, c’est une sorte de grande bâche rectangulaire qui va vous permettre de monter un abri. C’est léger, et hyper modulable si vous avez de l’imagination, bref idéal pour éviter de prendre une tente et pour dormir quasi à la belle étoile mais avec une protection. Certains l’utilise même dans des conditions très difficiles, mais j’y reviendrais par la suite, il faut vraiment de l’expérience dans le bushcraft.
Inconvénients : c’est ouvert, et surtout c’est assez technique à monter.
Passionné des régions nordiques, mais aussi d'activités outdoors et d'aventures, sportif (running, trail dans ma forêt), j'adore avant tout la nature et les grands espaces. Un peu geek, J'écris aussi sur Carnets Nordiqueset Escales Nordiques, où j'y partage mes photos, mes récits de voyages et ce qui me touche.
En effet, je me suis aperçu que faire une simple liste de choses essentielles n’est pas suffisant, il faut véritablement une méthode pour s’attaquer à notre nature profonde qui consiste à en rajouter toujours plus. Dans les grandes lignes, la stratégie pour réduire le poids de son sac consiste en un cycle (ou une sortie de boucle rétro-active) trier, peser, adapter.
Voici donc 8 conseils pour optimiser au mieux vos sorties.
Fondateur de la TeamAventurier, Piotr partage ses aventures outdoor sur 1001 pas ainsi que ses voyages sur Bien Voyager. Son gros projet est la conquête des 7 sommets et de longs treks en solitaire.
Lorsque l’on prépare son sac pour une randonnée, on tient en compte de plusieurs facteurs.
La durée prévue, la difficulté du trajet, les capacités de ravitaillement, notre propre résistance physique et la taille de notre sac…
On est souvent mal influencé par 2 objectifs qui semblent contradictoires lorsque l’on fait son sac à dos : sécurité et confort.
On en oublie la notion de liberté et de plaisir qui sont, pour moi, les véritables enjeux d’une bonne randonnée.
Si, à vos yeux, randonnée rime avec souffrir et gros sac à dos, cet article n’est pas fait pour vous… si au contraire, vous jugez qu‘il serait bon de vous alléger pour prendre plus de plaisir à la marche, je vais vous expliquer pourquoi, vous êtes sur la bonne voie, en partant avec un sac plus léger.
Fondateur de la TeamAventurier, Piotr partage ses aventures outdoor sur 1001 pas ainsi que ses voyages sur Bien Voyager. Son gros projet est la conquête des 7 sommets et de longs treks en solitaire.